Identifiants et visibilité
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La visibilité numérique du chercheur
L’activité numérique du chercheur et autour de ses travaux constitue le socle de sa visibilité numérique. Elle se construit à partir des publications et activités de recherche, mais également à partir des traces et commentaires accessibles en ligne. Gérer sa présence en ligne est devenu un enjeu prégnant pour valoriser son activité scientifique et améliorer la visibilité de ses travaux. Cet objectif passe nécessairement par une réflexion individuelle sur sa présence en ligne et une stratégie globale pour valoriser au mieux l'ensemble des activités.
La plupart des chercheurs n'ont pas une, mais plusieurs identités numériques diluées. Elles peuvent être constituées d’identifiants activés ou non dans des bases académiques, des pages personnelles, des profils de réseaux sociaux, etc. Elles constituent dans leur ensemble, les différentes facettes de l'identité numérique du chercheur. Résoudre les problèmes d’homonymie, aligner sa présence dans les multiples bases scientifiques, gérer sa présence dans les réseaux académiques et les réseaux professionnels sont les premiers jalons de la construction d’une identité numérique maitrisée. Se protéger des risques, comme les éventuelles fraudes, les attaques contre l’e-reputation, et surtout garantir la préservation sur le web de l’ensemble de sa carrière sont les bénéfices directs de cette prise en main. L’identité numérique du chercheur peut être renforcée par des données robustes qui permettent d’accroitre la visibilité de ses travaux de recherche.
L’identité numérique du chercheur questionne alors trois aspects de la recherche :
- la visibilité scientifique
- l’e-reputation
- l’impact de la recherche
L’identité numérique du chercheur l’inscrit dans un environnement institutionnel. Si un identifiant unique est adopté, cette identité a un effet transformatif sur l’ensemble du processus scientifique : circuit de publication ouvert, réponse aux appels à projets, suivi auprès des financeurs…
En s'emparant des outils à votre disposition, vous avez la possibilité de maîtriser votre identité numérique. Quatre grandes catégories d'outils sont proposées :
- les outils de profils
- les outils de diffusion
- les réseaux sociaux
- les identifiants chercheurs
Par où commencer ?
- L’outil Visibility Check de l’université d’Utrecht, vous propose un questionnaire pour évaluer votre présence en ligne et établir un premier état des lieux.
- En listant ses comptes et identifiants chercheurs préexistants.
- Sur les bases de données bibliographiques des éditeurs : veiller à désambiguïser votre nom, les éventuels doublons de vos profils sur Scopus et le WoS et à raccrocher l’ensemble de vos publications à vos identifiants académiques pérennes (ORCID, IdHAL).
- En organisant sa présence en ligne sur les réseaux sociaux de chercheurs selon vos besoins et objectifs.
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Quels outils pour quels usages ?
La gestion de son identité numérique sera différente en fonction des outils utilisés, de ses activités et de ses objectifs. Elle repose sur l’articulation de trois instruments : le CV, les réseaux sociaux professionnels et les identifiants chercheurs.
A cet usage, quatre grandes catégories d'outils sont disponibles pour les chercheurs :
- les outils de profils
- les outils de diffusion
- les réseaux sociaux académiques
- les identifiants chercheurs
Les outils de profils et de CV en ligne
Les CV en ligne permettent de construire un profil de chercheur complet. Selon le système choisi, le CV sera relié à un identifiant unique auteur qui le distingue des autres, et lui assure une plus grande visibilité de son parcours, de ses activités et productions scientifiques. Souvent, il réduit la saisie manuelle des données grâce à la collecte automatique des activités et publications associées.
Objectifs :
- S’affilier comme chercheur dans une structure universitaire, un laboratoire…
- Rassembler l’ensemble de ses travaux, de ses implications dans l’environnement académique (comités éditoriaux, révisions, responsabilités pédagogiques, etc.)
- Privilégier le CV narratif avec enrichissement automatique.
CV institutionnels
Outils Avantages Page personnelle institutionnelle et/ou de laboratoire
Pages personnelles des enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants visibles sur le site internet de l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Mise à jour manuelle dans l’intranet.
Création d'une URL pérenne ; Connexion avec les autres identifiants ; Alimentation automatique par les dépôts ajoutés dans HAL ; Possibilité d'alimenter depuis HAL son profil ORCID ; Possibilité de créer un CV narratif dynamique. Autoriser ou non à rendre public son identifiant ou à interagir avec des bases de données spécifiques reliées à d'autres identifiants chercheurs (IdHAL, ResearcherID, Scopus, ISNI, ...) ou d’autres plateformes de diffusion (Crossref, HAL, PubMed, …) ; Communiquer avec les éditeurs, les revues, les financeurs de la recherche (ANR, UE) ou les entrepôts de données. CV de réseaux sociaux académiques ou professionnels
Outils Avantages Mise en garde Auto-indexation de ses publications dans le moteur de recherche ; Création d'alertes pour suivre les citations de ses articles ; Référencement de sa page personnelle. Google Scholar inclut des sources de données non académiques. La base indique parfois la présence de doublons ou d'une citation qui n'en est pas réellement une. Elargir son réseau professionnel ; Synergie entre les membres d'un groupe, création d'évènements ; Outils de veille thématique ou institutionnel… Vérifier les paramétrages qui sont « ouverts » par défaut. Rattachement sur demande des publications mise en ligne par les co-auteurs ; Synergie entre les membres d'une communauté, mise en œuvre de projet... Perte des droits auteurs ou éditeurs sur les fichiers textes des publications déposés (“Copyright compliance and infringement in ResearchGate full-text journal articles”). Rattachement sur demande des publications mise en ligne par les co-auteurs ; Synergie entre les membres d'une communauté, mise en œuvre de projet... Perte des droits auteurs ou éditeurs sur les fichiers textes des publications déposés. Recommandations :
- Pour associer visibilité et pérennité des dépôts, vous pouvez privilégier un simple lien sur les réseaux sociaux pointant vers les publications déposées dans une archive ouverte.
- Les archives ouvertes, de type HAL, sont centrées sur le document. Elles participent du mouvement en faveur de l'Open Access (Green Open Access) avec l’auto-archivage des productions. L'accès est libre, gratuit et pérenne.
- Les réseaux sociaux académiques sont centrés sur le chercheur. Ils proposent un système de profils et incitent au dépôt de la production. Régulièrement certains éditeurs exigent le retrait de leurs contenus.
Les outils de diffusion
Les plateformes de dépôt
Les plateformes de dépôts et/ou de publications sont des outils de diffusion et de valorisation des travaux scientifiques.
Typologie de travaux Plateformes Exemples Cours Archives ouvertes HAL - CEL Plateformes dédiées (juristes) UNJF Données Archives ouvertes HAL - Zenodo Entrepôts de données Zenodo - Dataverse - Figshare - Dryad - Mendeley … HDR Archives ouvertes HAL Images fixes, animées (prospection, terrains, …) Archives ouvertes thématiques MediHal Logiciels Archives ouvertes HAL - Software Heritage Système de contrôle de version (VCS), dit aussi outil de gestion du code source (SCM) Services d'hébergement de référentiels Git :
GitHub - GitLabArchivage de code sources de logiciels :
Software HeritageMémoires Archives ouvertes thématiques DUMAS Présentation (Interventions, vidéos, posters, photos, ...) Archives ouvertes HAL Sites web Slideshare - Scribd - Youtube - DailyMotion - FlickR Publication (du preprint à la version publiée) Archives ouvertes nationales HAL ⇒ Portail HAL Paris 1 Panthéon-Sorbonne Plateformes de preprints / Archives ouvertes thématiques Peer Community In - PhilSci Archive - SocArXiv - ArXiv - bioRxiv - Pubmed - RePEc - PubMed Central… Références bibliographiques Logiciels de gestion bibliographique Zotero - Mendeley - Endnote … Thèses Archives ouvertes thématiques TEL L'auteur dispose d'un droit de diffusion dans les archives ouvertes dans les conditions fixées par l'article 30 de la loi pour une République numérique. Il dispose de nombreux outils pour maîtriser son identité numérique (création de CV, identifiants chercheurs type IdHAL, ORCID...).
Les réseaux sociaux académiques
ResearchGate et Academia , d’initiative privée, sont deux sites de réseautage social pour les scientifiques. Les deux sites permettent l'échange de connaissances entre les membres ainsi que la création de groupes.
Vous devez vous créer un profil pour rechercher du contenu dans ResearchGate, tandis qu'Academia est accessible sans identifiant (la recherche d'articles sans créer d'identifiant est accessible en cliquant sur "Papers" en bas de la page).
Pour vous connecter à Google Scholar Citations, il vous suffit de créer un compte Google ou d'utiliser celui que vous possédez déjà.
La gestion des données privées des réseaux sociaux est soumise aux conditions générales de diffusion. Il y a peu de possibilités de contrôle et les dépôts des productions scientifiques ne sont pas vérifiés (modération). Le dépôt des fichiers des travaux est sous la responsabilité du déposant.
Les métriques individuelles d’impact proposées sur ces plateformes sont propriétaires. Elles ne sont donc pas ouvertes ou interrogeables par un tiers.
Recommandations :
- S’appuyer sur le fort référencement de ces outils
- Signaler ses travaux et activités scientifiques sous forme de références bibliographiques en y associant le lien URL du dépôt sur une archive ouverte ou un site internet personnel
- Ces outils ne garantissent pas les droits de propriété sur les contenus déposés (fichier texte, full text) de l’auteur et de l’éditeur.
Les identifiants chercheurs
Les identifiants chercheurs institutionnels
Un identifiant chercheur ou identifiant auteur (Researcher Identifier, Author Identifier) est un code alphanumérique unique pérenne attribué à tout auteur de produits de recherche.
Ce code identifie de façon univoque l’auteur dans un environnement numérique donné et lui attribue les produits de recherche (articles, brevets, jeux de données scientifiques, projets financés…) dont il est l’auteur.
Lorsque l’on créé un identifiant dans un système, il peut être indiqué dans d’autres systèmes et les informations (liste des publications) seront automatiquement récupérées.
IdHal :
L'IdHAL est une manière de s'identifier en tant qu'auteur d'une publication sur HAL, notamment en cas d’homonymie, pour les chercheurs et chercheuses qui ont déposé au moins une publication dans HAL. Il permet d'associer à cet identifiant, et donc indirectement au compte HAL, toutes les publications dont elles ou ils sont auteurs dans HAL, même si elles apparaissent sous un nom différent ou qu'elles ont été déposées par une autre personne. Equivalent, au niveau de la base de données de HAL, de l'identifiant ORCID et dont la création est demandée par de plus en plus de maisons d'édition au moment de la soumission d'un article.
[https://doc.archives-ouvertes.fr/identifiant-auteur-idhal-cv/]
ORCID (Open Researcher and Contributor ID) :
L'identifiant ORCID exclusivement destiné à l’identification des auteurs et contributeurs des domaines de l'enseignement supérieur et de la recherche. Chaque chercheur peut créer, modifier et contrôler les données le concernant, ou déléguer cette gestion à un tiers. ORCID, est une organisation internationale à but non lucratif qui gère un répertoire central (ORCID Registry) d’identifiants chercheurs (ORCID ID).
[https://orcid.org/register]
IdRef (Identifiants et Référentiels) :
Pour l’Enseignement supérieur et la Recherche, IdRef est un identifiant « universel », au sens où il couvre les personnes, une partie des publications, et les structures, quand l’entité est française ou reliée à d’autres entités utilisées en France.Il est attribué par son organisme d’affiliation, mais toujours avec la possibilité de modifier, corriger les informations exposées pour les bases de données institutionnelles.
[https://www.idref.fr/]
ISNI (International Standard Name Identifier) :
L’ISNI est un code international normalisé des noms. Il permet d’identifier au niveau international les identités publiques des personnes ou des organismes impliqués dans la création, la production, la gestion et la distribution de contenus intellectuels et artistiques ou faisant l’objet de ces contenus (auteur, éditeur, traducteur, illustrateur, ou le sujet d’une œuvre).
[http://www.isni.org/]
Les identifiants chercheurs éditeurs
Certaines banques de données bibliographiques créent des identifiants numériques aux chercheurs et chercheuses qu'elles référencent. Ce sont des identifiants propres à leur plateforme.
Scopus Author ID :
Scopus est une base de données transdisciplinaire de résumés et de citations de publications scientifiques lancée par l'éditeur scientifique Elsevier. Elle attribue un ID automatique. Possibilité de corriger et de lier cet identifiant avec ORCID.
[https://www.scopus.com/freelookup/form/author.uri?zone=&origin=AuthorProfile]
Publons (anciennement ResearcherID de Thomson & Reuters) :
Identifiant pour le Web and Science (WoS), bases de données bibliographiques scientifiques, commerciale (sur abonnement) par la société américaine Clarivate Analytics. Publons recense également les activités de révisions d’un auteur.
[https://publons.com/account/register/]
Recommandations :
- S’appuyer sur les bases de données institutionnelles qui promeuvent les identifiants chercheurs ouverts.
- Ces identifiants institutionnels communiquent entre eux et les plateformes dont ils sont issus peuvent être déclarées comme "tiers de confiance" dans ORCID pour s’autoalimentées.
- Rassembler tous ses identifiants chercheurs (institutionnels, bases bibliographiques, réseaux sociaux académique, métriques, etc) sur son site web personnel ou sa page personnelle institutionnelle.
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Gérer vos travaux de recherche grâce aux identifiants chercheurs
Un identifiant chercheur ou identifiant auteur (Researcher Identifier, Author Identifier) est un code alphanumérique unique pérenne (persistent digital identifier, unique identifier…) attribué à tout auteur de produits de recherche.
Il joue un rôle important dans la construction de l’identité numérique d’un chercheur en l’identifiant de façon univoque comme auteur dans un environnement numérique donné et en lui permettant en même temps de communiquer sur ses activités.
L’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne encourage plus particulièrement l’usage de deux identifiants chercheurs :
- l’IdHAL, identifiant chercheur sur l’archive ouverte HAL qui vous permet notamment de regrouper vos publications et de vous créer un CV en ligne alimenté automatiquement par vos dépôts dans HAL ;
- l’identifiant ORCID (Open Researcher and Contributor ID), qui présente l’avantage d’être interopérable avec plusieurs bases de données, sites d’éditeurs scientifiques et archives ouvertes, dont HAL.
Ces deux identifiants chercheurs institutionnels sont interopérables. Ils peuvent communiquer des éléments bibliographiques de vos travaux de recherche si vous les reliez et ainsi éviter une double saisie d’informations.
Créer à partir de HAL un compte ORCID ou relier votre compte HAL à votre compte ORCID et envoyer à partir de HAL les références de vos publications dans votre profil ORCID.
Ces identifiants permettent de déterminer qui est l'auteur, de quelles productions, quelles sont les données associées à un article, etc. Le caractère ouvert et interopérable de ces identifiants est la condition de leur succès.
Dans le document qui sert de référence sur les modes de diffusion de la science financée sur fonds publics en Europe, Lignes directrices pour le libre-accès aux publications scientifiques et aux données de la recherche dans Horizon 2020, il est écrit que : « Lorsque cela est possible, il est aussi recommandé que « les contributeurs soient identifiés et les données attribuables, les deux de manière unique, grâce à des identifiants pérennes, non-propriétaires, ouverts et interopérables ».
« L’Union européenne soutient des projets transnationaux visant à développer l’utilisation des identifiants de manière coordonnée par les chercheurs et les institutions des différents pays, parmi lesquels Freya – Connected open identifiers for discovery, access, and use of research resources [https://www.project-freya.eu], dans lequel la France est représentée au sein du programme des « ambassadeurs ». Freya semble être amené à jouer un rôle important dans la définition de l’usage des identifiants dans l’European Open Science Cloud [https://www.eosc-portal.eu], plateforme européenne qui fédère les outils permettant aux chercheurs de stocker, gérer, analyser et réutiliser de larges quantités de données issues de la recherche. » Source : https://www.ouvrirlascience.fr/des-identifiants-ouverts-pour-la-science-ouverte-note-dorientation/
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La valorisation de la recherche
Le chercheur peut adopter différentes stratégies pour optimiser sa visibilité et son identité numérique, selon la cible et ses objectifs.
- Mon profil : Ce que je suis et ce que je fais ⇒ CV, profil, liste des travaux, formulaire de contact, identifiants chercheurs
- Mes pairs : Ce que je valorise ⇒accès aux travaux et publications (dépôts en archives ouvertes + signalements sur les réseaux sociaux)
- Public : Ce que je partage ⇒ réseaux sociaux généralistes, blogs, carnets de recherche, plateformes de partage
Quelles stratégies adopter et comment les utiliser ?
Revendiquer son identité professionnelle
- Assurer une cohérence dans les différents profils (nom, photo, contenu).
- Assurer la robustesse des informations diffusées.
- Indiquer les liens vers les autres profils pour augmenter les rebonds de lecture, la visibilité et l’indexation par les moteurs de recherche.
Centraliser ses divers comptes et identifiants chercheur
- Rassembler tous ses identifiants chercheurs (institutionnels, bases bibliographiques, réseaux sociaux académique, métriques, etc.) sur son site web personnel ou sa page personnelle institutionnelle
- Utiliser une base ou un réseau social qui puisse s’alimenter à partir d’ORCID.
Valoriser ses travaux en tant qu’auteur (réseaux académiques, archives ouvertes)
- Déposer ses publications dans HAL Paris 1 (référence bibliographique + fichier joint, a minima en version "manuscrit auteur accepté pour publication"/postprint).
- Signaler ses publications sur les réseaux sociaux académiques avec le lien vers le dépôt HAL.
- Maintenir à jour la liste de ses travaux et publications soit dans ORCID, soit dans HAL et activer la communication entre les deux bases. Après vous être connecté à ORCID, sélectionner Travaux/ajouter des travaux (Add works/Search and link) puis sélectionner HAL dans la liste des bases de données reconnues par ORCID.
Partager ses activités et ses connaissances au sein de sa communauté de recherche
- Se présenter comme un spécialiste du domaine
- Participer à la diffusion des connaissances scientifiques
- Tenir compte des pratiques de sa communauté (blogs, carnets de recherche, twitter, etc.)
Etre visible le plus largement possible sur internet
- Assurer "l’étoilement de sa présence" entre les outils.
- Profiter de la complémentarité et de l’interopérabilité des outils et services.
- Veiller à la cohérence des informations et à leur mise à jour sur les différents sites.
- Utiliser les bases pour ce qu’elles proposent. Exemple Publons recense les activités de révision d’un auteur. Les url et identifiants de profils peuvent être inclus dans le CV statique (pdf) ou sur votre site web.
Pour aller plus loin (ordre alpha.) :
Deboin, Marie-Claude, (2021) « Utiliser un identifiant chercheur pour gérer ses publications, en 12 points ». Montpellier (FRA) : CIRAD, 8 p. DOI : https://doi.org/10.18167/coopist/0010
Être visible sur internet : l'identité numérique du chercheur, URFIST Paris : https://urfist.chartes.psl.eu/ressources/etre-visible-sur-internet-l-identite-numerique-du-chercheur
ERTZSCHEID Olivier, Qu’est-ce que l’identité numérique ? Enjeux, outils, méthodologies. Nouvelle édition [en ligne]. Marseille : OpenEdition Press, 2013. DOI : https://doi.org/10.4000/books.oep.332. http://books.openedition.org/oep/332
Focus sur : l’identité numérique du chercheur, IST Agropolis : https://www.open-access.fr/images/fiches%20pratiques/Fiche_pratique_identit%C3%A9_num%C3%A9rique.pdf
GEORGES Fanny, « Représentation de soi et identité numérique. Une approche sémiotique et quantitative de l'emprise culturelle du web 2.0 », Réseaux 2009/2 (n° 154), p. 165-193. DOI : https://doi.org/10.3917/res.154.0165. http://www.cairn.info/revue-reseaux-2009-2-page-165.htm
Le libre accès aux publications et aux données de recherche, Horizon 2020, portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. https://www.horizon2020.gouv.fr/cid82025/le-libre-acces-aux-publications-aux-donnees-recherche.html
L’identité numérique du chercheur : pourquoi La maîtriser ? : https://www.biblio.univ-evry.fr/wp-content/content/expos/oaweek2017/files/2017_p2_Enjeux.pdf
Quatrième Axe : Transformer les pratiques pour faire de la science ouverte le principe par défaut, Deuxième Plan National pour la Science Ouverte (2021) : https://www.ouvrirlascience.fr/deuxieme-plan-national-pour-la-science-ouverte/
Séminaire Open science #3 : L’identité numérique du chercheur : pourquoi, comment ? 21 janvier 2020, Aline Bouchard (URFIST de Paris-Ecole nationale des chartes), Université Sorbonne Paris Nord : https://www.youtube.com/watch?v=j5W18DSIhCQ
